Copropriété, délai de réflexion, garantie décennale, impôt foncier, pas de porte, prêt immo, promesse de vente, rendement locatif, TAEG, terrain viabilisé, usufruit, … Tous ces mots font partie du jargon de l’immobilier. Derrière eux se cachent des notions techniques et juridiques qui doivent être maîtrisées pour sortir gagnant de son projet.

Un appui pour l’emprunteur

Un particulier peut protéger ses intérêts en se faisant aider tout au long de son projet par des professionnels, le courtier en fait partie. Il aide à obtenir un prêt immobilier dans un meilleur délai et aux meilleures conditions. Le courtier en crédit peut travailler au sein d’une agence, exercer en réseau sous le nom d’une agence connue ou en indépendant mais disposant des justificatifs pour les négociations qu’il a réussi à mener auparavant. Qu’importe la manière dont il opère, le courtier doit toujours être certifié.

Un courtier certifié ?

Le courtier certifié est une personne ayant réussi toutes les étapes nécessaires pour pouvoir exercer dans le métier : études et examens. Doté d’un certificat professionnel, il doit être inscrit au registre des intermédiaires de la banque, de l’assurance et de la finance délivrée par l’ORIAS. Le courtier ne peut pas exercer ses fonctions s’il ne dispose de cette certification.

Avec les sociétés de courtage, l’emprunteur peut même faire venir le courtier à son domicile. Ainsi, il peut rester chez lui tout en bénéficiant du temps suffisant pour exposer son projet. L’emploi du temps du courtier lui permet également de faire des comptes-rendus rapides sur l’évolution du dossier et d’être plus réactif en cas de problème. Bien sûr, il est aussi utile pour avoir le meilleur taux avec une offre TAEG plus intéressante.