Quelques notions basiques qui nous seront très utiles chez le dentiste

   Les cabinets de dentistes se sont développés beaucoup depuis ces dernières années. Les instruments, dans leur majorité, manuels, se sont améliorés et ils sont maintenant des machines très complexes capables de travailler d’une façon plus précise, plus facile et plus rapide.

   La technologie a permis que le champ médical avance à pas de géant, ce qui permet que plusieurs personnes soient traitées chaque année. La variété du matériel dentaire a tant grandit qu’on peut faire diverses classifications :

Instruments simples

   Ces sont les instruments qui sont actionnés d’une façon manuelle par le dentiste lui même. Selon leur composition on peut les diviser en :

• Instruments d’un seul élément

C’est-à-dire, des instruments qui ont une unique partie active, comme par exemple la sonde, le bistouri, l’excavateur (pour enlever des caries), ou la spatule.

• Instruments de deux éléments

Il en a deux parties actives. On parle des appareils très courants comme les ciseaux, les pinces, les forceps ou le porte-aiguille.

• Instruments de plus de deux éléments

   Ils sont un peu plus complexes et modernes que les autres. Quelques exemples sont les seringues et les ouvre bouches.

• Instruments spéciaux

Ils ont des particularités dans leur fabrication, morphologie et utilisation très spéciales, qui leur empêche d’être inclus dans les autres groupes. Le matériel dentaire duquel on parle est l’instrument d’endodontie, les aiguilles pour anesthésier, les canules pour aspirer, les séparateurs, etc.

       Le matériel le plus employé est l’acier inoxydable, mais parfois on peut trouver des instruments faits d’aluminium, de titane, de céramique ou de plastique (ce dernier d’une façon très rare).

Instruments complexes

   Ces instruments jouissent d’une grande complexité technologique. Ils ont donc besoin d‘être connectés à une source d’énergie ou une machine pour pouvoir fonctionner.

   Selon la source d’énergie on y trouve:

–          Ceux qui utilisent de l’air comprimé (des instruments rotatoires)

–          Ceux qui utilisent de la lumière halogène (appelé photopolymerization)

–          Ceux qui ont besoin d’un courant électrique (c’est-à-dire, le bistouri électrique)

–          Ceux qui fonctionnent par pression négative (comme les aspirateurs chirurgicaux)

 Parfois ce sont des unités indépendantes qui peuvent être utilisées de façon individuelle, et parfois ils font partie d’une grande machine, comme une sous-unité. Cependant, c’est toujours le dentiste qui dirige avec sa main l’activité de l’appareil, pour travailler dans la bouche du patient. Il est possible que dans le futur les machines du dentiste soient plus modernes et plus précises à l’heure de travailler, mais la main d’un professionnel du secteur qui dirige tout le travail sera encore indispensable.

   Il faut penser aux dentistes comme les peintres de la bouche, ou même comme des architectes buccaux car ils doivent mouvoir les pièces dentaires selon les mouvements de chaque individu. Si bien les phases à suivre sont normalement les mêmes, la réponse de chaque patient est différente, et par conséquent, il faut adapter la procédure à mesure qu’ils travaillent sur le terrain.

   Depuis quelques années, il est très important de montrer un joli sourire, sain, car c’est l’une des premières choses qu’on regarde quand on connait quelqu’un. Donc, il sera mieux si on a une connaissance générale du secteur pour quand le dentiste parle nous ne soyons pas très perdus.